vendredi 19 janvier 2007

Moi et Awilo Lomgonba



Ptit souvenir de "Karolina"


http://www.youtube.com/watch?v=2bns3aHaTBo

mercredi 17 janvier 2007

Video Fally Ipupa seben a kin Ninelle paire double & Jny Chetani

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Werra Son - "Sous Sol"



New Maxi single "Sous Sol" de WerraSon

Regardez le clip

Part 1

http://www.youtube.com/watch?v=mPiNbWUIQsY

Part 2

http://www.youtube.com/watch?v=cExgGsLC_OQ

Part 3

http://www.youtube.com/watch?v=g6M0z8xc1YU

Part 4

http://www.youtube.com/watch?v=x4DNtL_zM6o

Papa Wemba - Nkunzi Lele



New album NKUNZI LELE de Papa wemba!!

Nkunzi Lele - Génerique

http://media.putfile.com/Papa-wemba---Nkunzi-lele

Regarder

http://www.youtube.com/watch?v=_VhTSx7blpo

Biographie Papa Wemba

Le patron des « Ambianceurs » est toujours dans la place. Papa Wemba, de son vrai nom Shungu Wembadio Pene Kikumba, est une icône, un symbole du Congo musical. Personnage aux multiples facettes, ces dernières années il a plus brillé dans les médias à cause de ses démêlés avec la justice française que grâce à ses disques. Très jeune, il quitte sa campagne pour vivre à la ville, s\'intégrer au monde moderne. En 1969, il fonde avec des amis le groupe "Zaiko Langa Langa". Ils s\'inspirent de nombreux courants : musique afro-cubaine, rock, rhythm and blues... Mais, dans le Zaïre indépendant des années 60, la tendance est aux musiques traditionnelles. Et, même si les aînés la critiquent, la jeunesse s\'identifie à cette musique rebelle. En 1977, Papa Wemba fonde un nouveau groupe "Viva la Musica" (baptisé d\'après un titre de Johnny Pacheco). Touche personnelle, il commence à utiliser le lokolé : "Il s\'agit d\'un tronc d\'arbre creux que l\'on frappe avec deux baguettes pour communiquer d\'un village à l\'autre" et décide que lui et ses musiciens auront un look impeccable. Il crée alors la Société des Ambianceurs et des Personnes d\'Elégance (SAPE), à laquelle se rallient les jeunes Congolais du monde entier. "Grâce à la sape, explique Papa Wemba, nous avons acquis une identité. Mais je ne suis pas un esclave de la mode. Je suis avant tout un chanteur, pas un sapeur".

Ferre Gola - ses 2 superbes clips




Sens Interdit(Générique)

http://www.youtube.com/watch?v=RFcbNwOEuKo

Biberon

http://www.youtube.com/watch?v=8xqZBLNs24I

Biographie Koffi Olomide


Le 13 août 1956 se trouve être un vendredi, d'où le nom de Koffi donné au petit Antoine par sa mère, selon la coutume du pays de son géniteur, le Sierra Leone, concernant les natifs de ce jour de la semaine. Comme si le signe du vendredi 13 ne suffisait pas, la légende veut qu'au sortir du ventre de sa mère l'enfant ait eu la main collée à la joue, symbole de tristesse. De fait, il semble émaner des circonstances de la naissance de l'artiste une sorte de malheur diffus. Le sentiment d'abandon provoqué par le fait de mettre son enfant au monde loin de chez elle est accentué pour la maman par l'absence de son mari. Le chanteur apprendra qu'à l'époque, son père aurait envisagé de quitter sa femme pour une autre. Le premier jour, ne parvenant pas à allaiter son nouveau-né, la mère doit s'en remettre à une voisine. L'enfant paraît si chétif que l'on n'a peu d'espoir de le voir vivre bien longtemps.
"Antoine Makila Mabe" ("Antoine mauvais sang") est son surnom d'alors. Mais il s'accroche à l'existence et l'énergie vitale qui lui donne cette force est sans doute la même qui va nourrir sa ténacité et lui permettre de persévérer dans la création musicale jusqu'à la réussite internationale que l'on sait. Des signes manifestes de ce difficile départ dans la vie marquent l'inspiration, souvent pessimiste et tourmentée des textes de Koffi Olomide. Quant à sa thématique de prédilection touchant aux sentiments liés à l'amour brisé et aux peines de cœur, elle pourrait bien avoir été élaborée autour des réminiscences liées aux premiers regards jetés par l'enfant sur ce monde de douleurs et de joie dans l'amour.
"Soso Ameli Ngando"
Le jeune Antoine grandit à Kinshasa dans un milieu relativement aisé mais pas spécialement musical. "Je sais seulement que la musique a toujours été dans mon sang, explique-t-il. Ma tante, la petite soeur de mon père, raconte que lorsque j'étais petit, vers six ou sept ans, j'avais un refrain que je chantais tout le temps : "le coq a avalé le crocodile". C'est devenu mon surnom : (il chante) "soso ameli ngando". Je n'ai jamais su d'où ça venait. C'est peut-être l'expression de ma façon très particulière de voir les choses ".
Plus tard, il s'amuse à transformer les chansons qu'il entend, y apportant ses propres paroles et des mélodies qu'il invente. Au début, il puise exclusivement dans le répertoire de Tabu Ley Rochereau, pour lequel il voue une immense admiration. Puis, d'autres artistes comme Mongali et Zato de Los Nickelos alimentent la source de son inspiration. Touché par ce talent en herbe et la fascination de l'adolescent pour la guitare, un voisin guitariste enseigne les secrets de la guitare six cordes au jeune Koffi.
Brillant lycéen à Kinshasa, Koffi Olomide obtient un bac scientifique. Son père lui permet alors de poursuivre des études supérieures de commerce en France à l'université de Bordeaux, dont il sortira diplômé en 1980. Pourtant, dès l'âge de dix-huit ans, le jeune homme, mû par sa passion, ressent une forte attirance pour l'art de la chanson. "Mais selon l'éducation de mon père, on estimait que les gens qui font de la musique n'étaient pas très recommandables. Il a donc fallu forcer les barrages" explique-t-il. Dans cette entreprise, son frère sera son meilleur soutien et le poussera même à se professionnaliser.
1977, "L'étudiant le plus célèbre du Zaïre"
Koffi Olomide commence à se faire remarquer au sein des milieux musicaux zaïrois dans la seconde moitié des années 70. "Onia" fait partie de ses premières chansons. Mais le peu de succès qu'elle recueille à l'époque incitera le chanteur à en reprendre le thème plus de quinze ans après dans "Tsiane", l'un des hits de l'album "Pas de Faux Pas". En 1977, sous la pression de son frère, Koffi profite de ses vacances au pays pour enregistrer au studio Veve de Kinshasa ses premières chansons, "Asso" et "Princesse Ya Senza", qui consacrent la grande valeur de la femme. "C'est à cette époque qu'on a commencé à me surnommer "l'étudiant le plus célèbre du Zaïre". J'écrivais des chansons pour des artistes de renom. Je n'avais pas de groupe, mais je collaborais avec beaucoup de chanteurs qui en avaient", explique Koffi Olomide.
Il travaille notamment pour Zaïko Langa Langa, mais se distingue surtout avec Papa Wemba et intervient à la guitare dans son groupe Viva La Musica. "Anibo", 45 tours qu'il enregistre en duo avec Wemba, vaut à Koffi le titre de "meilleure vedette de la chanson zaïroise" en 1978. Cette proximité a été et continue à être la cause de malentendus avec la presse, prompte à vouloir tracer une filiation directe entre les deux artistes. C'est la cause d'un certain agacement chez le plus jeune, souvent contraint de réaffirmer que s'il a composé de nombreuses chansons pour le groupe et son leader, il n'a jamais été salarié dans Viva la Musica. Il admet néanmoins considérer Papa Wemba avec le respect dû aux aînés, même si, poussé à mettre les points sur les i, Koffi peut affirmer que Wemba aurait mieux profité de l'apport de ses chansons que lui-même n'aurait bénéficié de l'aide de Wemba. Quoiqu'il en soit, quand les deux hommes enregistrent en duo l'album "Wake Up", en 1996 environ vingt ans après leurs premières collaborations à Kinshasa, ils affichent une conviviale confraternité.
1983 : "Ngounda"
L'année 1983 va constituer un tournant décisif dans la carrière de Koffi Olomide, avec l'enregistrement de son premier album, "Ngounda" (l'Exilé). Il a lieu en Belgique sous la direction de Roland Leclerc, qui l'initie aux réalités de la technologie des studios modernes. "C'était ma première expérience dans un véritable studio professionnel", dit le chanteur qui découvre un monde dont il a longtemps rêvé. À vingt sept ans, il est plus que jamais déterminé à réussir dans la chanson. Mais le chemin à parcourir semble encore long, d'autant qu'à Kinshasa, il doit s'associer à des formations existantes s'il veut se produire sur scène et enregistrer. Il publie ainsi deux disques en duo, "Olomide et Yakini Kiesse" et "Olomide et Fafa de Molokoi". Cette situation qu'il vit comme une contrainte, ne peut durer indéfiniment.
C'est ainsi qu'en 1986, il fonde son premier groupe de scène, Quartier Latin, un collectif de musiciens de chanteurs et de danseuses qui va donner au personnage de Koffi sa véritable dimension d'homme de scène et de créateur à part entière. Suivant l'exemple de Papa Wemba, il va bientôt pouvoir enregistrer tour à tour sous son propre nom et sous celui du Quartier Latin. Un procédé qui lui apporte le triple avantage de donner du travail régulier à son personnel musical, de valoriser les talents des jeunes musiciens du groupe en tant qu'auteurs, compositeurs et interprètes, mais aussi d'accélérer le rythme de sortie de ses productions et de ses oeuvres.
Grâce au travail avec son orchestre, il peut commencer à chercher un son plus accessible à d'autres publics que les seuls Zaïrois et Congolais : une évolution naturelle pour un artiste qui partage sa vie entre Paris et Kinshasa. Toujours à l'écoute des sons nouveaux appréciés par le grand public, Koffi Olomide est impressionné par l'impact de Kassav et par le tour de force de son leader, Jacob Desvarieux, qui a su créer une véritable machine à danser à partir d'éléments puisés aux sources des traditions antillaises. Cette démarche va lui montrer la voie et Koffi reconnaît volontiers l'influence de Kassav sur son travail.
Golden Star
Après dix ans de carrière et d'expériences musicales diverses, l'artiste est à présent entièrement tendu vers le désir de réussir au plan international. Concentré vers ce but, il se jette dans le travail, à corps - et à coeur - perdus. Ceux qui n'avaient pas encore perçu son extraordinaire potentiel artistique vont bientôt découvrir en Koffi Olomide un créateur incroyablement prolifique. "Kiki Ewing" et "Ngobila", deux chansons enregistrées au cours de l'année 1987 paraissent encore sur des petits labels kinois. Elles n'atteindront les circuits internationaux que cinq ans plus tard, reprises sur l'album "Diva".
C'est en 1988 que démarre véritablement l'ère des grands succès, avec "Henriquet", chanson en hommage à Miss Congo, tirée de l'album éponyme publié aux éditions Kaluila/Gefraco. Koffi Olomide porte le nouveau surnom de "Golden Star", apposé sur l'album qui sort l'année suivante chez le même éditeur. Sa chanson titre, "Elle et Moi", est dédiée à Minou, première et seule fille du chanteur. Sa naissance le bouleverse et il laisse éclater sa joie à travers ces paroles : "Enfin elle est là, plus belle que toutes les femmes, que toutes mes illusions ! Minou, Minou comme un fruit mûr, sucré jusqu'au noyau, chaque nuit elle et moi c'est le carnaval. Qui donc viendra nous prendre en photo ? Minou dans mon coeur et dans mon âme comme le lait dans du café. Tu me recrées, fillette !"
Dans cet enregistrement parfaitement maîtrisé, Koffi dévoile ses qualités de multi-instrumentiste à la guitare et à la basse. Il signe les arrangements et la production avec Manu Lima, as des claviers reconnu par ailleurs comme l'un des plus talentueux sorciers des studios parisiens où s'élabore l'alchimie du nouveau son africain. Koffi a bel et bien conscience d'approcher de ce son du troisième millénaire qu'il recherche inlassablement. Il a saisi toute l'importance des claviers numériques et de la programmation informatique dans le travail de studio. Alors qu'un bon spectacle nécessite la prestation d'un minimum de quinze musiciens et l'intervention torride des danseuses, il sait aussi que les équipements ultramodernes des studios permettent une économie de moyens humains, tout en offrant un plus à la création, si tant est que l'on sache les utiliser à bon escient.
Le "Rambo" des années 90
S'il a bien essayé, en 1989, l'expérience d'un disque sur son propre label, Tchatcho, avec "Petit Frère Ya Jésus" (chanson reprise sur l'album "Golden Star dans Stephie"), Koffi Olomide comprend que s'il veut parvenir à ses fins, il a besoin du concours d'une structure plus solide et mieux implantée sur les marchés internationaux. Enregistré en 1990 chez KS production, "Les Prisonniers dorment" (rebaptisé "L'Orfèvre" au catalogue de Sonodisc) sort en janvier 1991. C'est une vraie déception pour son public. Celui-ci espérait une suite à "Elle et Moi" et ne trouve qu'un retour au soukouss des années 70.
Entre temps, la maison de production Sonodisc manifeste un véritable intérêt pour l'artiste. Le contrat qu'ils signent ensemble va être salutaire à sa créativité ainsi qu'à sa carrière. De plus, Koffi Olomide inscrit son nom sur le plus prestigieux des catalogues de musique congolaise, scellant du même coup un pacte implicite de fidélité avec la maison de disques, qui ne s'est jamais démenti pendant treize ans. Entrant de plain-pied dans les années 1990, l'artiste peut enfin peaufiner ce genre de "soukouss-love", baptisé du terme exclusif de "Tcha-tcho", jusqu'à une perfection jamais égalée. Il décrit ce style comme "l'école du bon goût, du chic et du charme", mais aussi comme une façon de vivre les plaisirs de la danse, les chaudes ambiances des rythmes, avec une touche de romantisme.
On ne peut s'empêcher d'y voir la marque de la S.A.P.E. (Société des Ambianceurs et Personnes Elégantes) qui à l'époque s'est répandue dans le monde entier grâce à l'entremise vertueuse de son "pape", Papa Wemba.
De 1990 à 1994, la carrière de Koffi Olomide connaît une ascension fulgurante. Son succès fait pâlir ceux des plus grands noms de la scène zaïroise, ce qui lui vaut le surnom de "Rambo". En l'espace de quatre ans, il publie sept albums, soit sous son nom, soit sous celui du Quartier Latin : "Golden Star dans Stephie" en 1991, "Diva", où il porte son nouveau surnom de Gangi ya film, "Pas de faux pas" avec le Quartier Latin et "Haut de gamme" en 1992, "Noblesse oblige" en 1993, "Magie" avec le Quartier Latin et "V12" en 1994.
Tcha-tcho international
L'heure de la consécration est enfin arrivée. Début 1992, l'animateur de la télévision zaïroise Lukunku Sampu présente l'artiste comme "la plus grande star actuelle de la musique zaïroise moderne". Un jugement qui va se confirmer au cours des années suivantes et notamment avec le formidable succès de "Noblesse oblige", qui devient disque d'or (plus de 100.000 exemplaires vendus). Déjà des légions de fans, baptisés par l'artiste "koffiettes" et "koffiphiles", suivent avidement ses prestations publiques et les moindres événements de sa vie.
Le 31 octobre 1994, le chanteur obtient un premier grand triomphe parisien pour son spectacle au Parc des Expositions de la Porte de Versailles. Fin novembre, Koffi Olomide et le Quartier Latin apparaissent à la sixième place des ventes de la Fnac Forum à Paris, devant des poids lourds du rock, comme Nirvana, et du rap, comme MC Solaar. Le 10 décembre 1994, au Palais des congrès de l'hôtel Ivoire à Abidjan, Koffi Olomide reçoit deux distinctions aux Africar Music Awards : celui du meilleur chanteur et celui du meilleur clip. Enfin, Koffi termine l'année en apothéose, faisant danser ses fans toute la nuit de Noël au fameux Aquaboulevard de Paris. Les chansons de "V12" seront également déclinées en vidéo sur une cassette de onze clips.
On le sait, le succès attire souvent les jalousies et provoque même les calomnies. Koffi Olomide l'apprend à ses dépends. Le 17 février 1995, lors d'une conférence de presse à Kinshasa, il répond à la presse zaïroise qui le malmène sur plusieurs sujets. Beevens, l'animateur du Quartier Latin est accusé d'avoir plagié celui de Wenge Musica, l'un des orchestres les plus en vue de l'époque. On reproche à Koffi d'avoir congédié l'une de ses danseuses, Scola, et d'avoir laissé Babia, l'un de ses accompagnateurs de talent, aux prises avec la justice française pour défaut de papiers d'identité. Sommé de répondre, l'artiste se défend avec une belle ardeur. Cela fait partie du jeu et il aime bien jouer. Mais afin de couper court aux ragots sur sa prétendue rivalité avec Papa Wemba, et aussi pour son propre plaisir, il enregistre l'album "Wake Up" en duo avec son aîné. Ce CD fera partie des événements discographiques de l'année 1996.
1998, sur les traces de Jacques Brel
En 1997, deux nouvelles bombes tcha-tcho parviennent sur le marché : l'excellent "Loi" de Koffi Olomide et "Ultimatum" signé avec les membres du Quartier Latin. Avec des titres comme "Papito charme" ou "S.O.S.", celui que l'on compare à Julio Iglesias ou à Barry White renforce encore le succès obtenu auprès de son public à 80% féminin. Paré de ses plus beaux atours, il répond en masse au rendez-vous du concert exceptionnel donné par son héros à l'Olympia de Paris dans la nuit chaude du 29 au 30 août 1998.
Avant de faire son entrée sur la scène du music-hall mythique, Koffi Olomide ne peut cacher son exaltation : "l'Olympia, c'est quelque chose de fabuleux. J'en rêvais depuis cinq ou six ans et, il y a encore quelques mois, je n'osais croire que ça se ferait. L'idée que je vais chanter sur la même scène que Jacques Brel, qui a toujours été un dieu pour moi, me transporte. "Ne me quitte pas" m'a inspiré une bonne vingtaine de chansons. J'aime me faire peur, pouvoir me dire que j'ai vraiment gagné. Pour mon premier Olympia, j'ai tenu à envisager les choses avec beaucoup plus de sérieux et de discernement que d'habitude."
Les cinq enfants de la star n'ont pas eu à rougir de leur père, comme on peut le constater sur l'album et la vidéo "Live à l'Olympia", sortis à peine deux mois après ce merveilleux concert. Les 1.800 places du temple de la variété n'étaient d'ailleurs pas suffisantes pour contenir toutes celles et tous ceux qui voulaient participer à cette nuit de fête. Ils sont conviés le 7 novembre 1998 au Zénith de Paris, où le Quartier Latin de Koffi Olomide rivalisera dans une folie de danse avec les Haïtiens de Tabou Combo. Un très beau match en perspective, en attendant "Droit de veto", le nouvel album de la star zaïroise qui sort en 1999.
Succès toujours
Six mois après sa sortie, le 12 avril, ce dernier album reçoit un disque d'or (100.000 exemplaires vendus). Quelques jours plus tard, il est l'invité de Passi et son collectif de rap congolais Bisso na Bisso sur la scène parisienne du Zénith.
Infatigable, Koffi Olomide remet ça en 2000 avec l'album "Attentat" qui donne lieu à une énorme et inhabituelle publicité en Europe pour un album africain. Il est vrai que cette année-là, le chanteur s'illustre en étant le tout premier Africain à tenir la vedette sur la scène de Bercy, la plus grande salle parisienne, en février.
Toujours très attendu, Koffi se produit une nouvelle fois à Paris au Zénith le 14 juillet 2001 avant de partir pour une tournée de quelques dates aux Etats-Unis avec son groupe Quartier Latin. Il fait une prestation très remarquée à New York le 16 juillet au Lincoln Center pour le Africa Out Loud music festival. Même le quotidien The New York Times s'en fait l'écho. En décembre 2001, sort un nouvel album de la star congolaise intitulé "Effrakata", 'effraction' en lingala, deux CD de 16 chansons en tout. On y trouve entre autres les Antillaises de Zouk Machine.
Au cours de la tournée qui suit cet album, Koffi Olomide passe le 14 février 2002 à Abidjan (Côte d'Ivoire).
Distinctions en tous genres
A l'occasion de la cérémonie des Koras Music Awards qui se déroule début novembre 2002 à Johannesburg, Koffi Olomidé devient le premier artiste à obtenir quatre Koras lors de la même édition. Il remporte les prix du meilleur artiste africain, du meilleur artiste d'Afrique centrale, du meilleur clip vidéo ainsi que la "récompense spéciale des juges".
Quelques mois plus tard, en janvier 2003, c'est au tour de la presse congolaise de donner quatre distinctions au Quadra Kora Man, comme il aime à se faire désormais appeler. Il est désigné meilleure vedette de l'année 2002, son groupe Quartier Latin est élu meilleur orchestre, sa chanson "Washington" est le meilleur titre de l'année et enfin son album "Effrakata" est désigné meilleur album de l'année.
Un concert de réconciliation entre Koffi et Papa Wemba devait se dérouler le 8 février au Zénith de Paris, mais sera finalement annulé. Le duo, qui avait fait merveille lors de l'album "Wake Up", n'a pu trouver un accord pour ce concert de prestige.
2003 : "Affaire d'Etat"
Fin mars 2003, sort le nouvel album du Quadra Kora Man. "Affaire d'Etat" est un double album composé de 18 titres qui sort chez Next Music. Enregistré à Paris, deux titres seulement sont en fait interprétés par Koffi Olomidé ("Piwawa" et "Affaire d'Etat"). Les autres titres de ce double album permettent à chacun des chanteurs-animateurs de Quartier Latin d'intervenir. Fofo le collégien, Fally Ipupa"Di Caprio", Roi Soleil Wanga "de Bodinat" (nom de l'ancien patron de leur maison de disques), Chef Felly Tyson , Geco Bouro Mpela "Ronaldhino", Deo Brando et les sept autres membres du groupe viennent chacun "ambiancer" sur un titre.
Pour fêter la sortie de ce nouvel album, Koffi donne un grand concert au Zénith de Paris le 12 avril 2003. Le 3 mai 2003, le concert qu’il donne au stade de l’Amitié à Cotonou, au Bénin, tourne au drame : quinze spectateurs trouvent la mort dans une bousculade. Peu de temps après, il se lance dans une nouvelle tournée nord-américaine qui passe entre autres à Houston, Boston, Dallas, Los Angeles aux Etats-Unis ainsi que dans quelques villes canadiennes. En 2004, il se produit sur les scènes africaines : au Kenya, au Burkina, au Gabon, au Congo-Brazzaville…
En juillet, lors d’un concert à Bruxelles un journaliste congolais – fils du chanteur Tabu Ley Rochereau – est violenté par les services de sécurité. En représailles, les médias de Kinshasa décident de ne pas diffuser les chansons de la star pendant 45 jours. Cette même année, il est invité par le rappeur français Rohff pour un duo sur l’album “La Fierté des nôtres” et par le chanteur ivoirien Meiway sur l’album “Golgotha”. Il participe également, avec dix-sept autres artistes africains de renom, à la chanson “Nous sommes les tam-tams” destinée à recueillir des fonds pour lutter contre le sida et la pauvreté en Afrique.
"Monde arabe"
Annoncé pour décembre 2003, l’album "Monde arabe" de Koffi Olomide sort en réalité en décembre 2004. La maison de disques avec laquelle il collaborait depuis près de quinze ans ayant fermé ses portes, l’artiste s’est donc autoproduit, enregistrant en grande partie les dix-huit chansons de ce double CD à Paris. Le développement du "libanga", cette pratique qui consiste à payer un artiste pour qu’il cite le nom d’une personne dans une de ses chansons, constitue une source de financement sur laquelle Koffi s’est appuyé, quitte à se retrouver dans une position délicate lorsqu’on découvre qu’il fait l’éloge du chef de file des rebelles ivoiriens, Guillaume Soro, dans sa chanson "Riziki". En mars 2005, il est à l’affiche du Royal Festival Hall de Londres, puis au Festival Music Ebène à Dakar en avril et à la cinquième édition du Fespam, le festival panafricain de musique organisé en juillet sur les deux rives du fleuve Congo.
Koffi Olomidé fait de la provocation en prenant en 2005 le surnom de Benoît XVI, alors que ce dernier vient juste d'être élu à la tête de l'Eglise catholique. La Conférence épiscopale nationale du Congo condamne alors "avec force" ce qu'elle estime être un manque de respect vis à vis du souverain pontife.
L'artiste, mégalomane pour certains, très fantasque pour d'autres, ne tarde pas à changer de sobriquet : il se surnomme "Décakoraman" depuis qu'il a été décoré du Trophée Kora 2005 de l'Artiste africain de la décennie.
2006 : "Danger de mort"
A la fin de l'année 2005, on voit Koffi et le Quartier Latin sur plusieurs scènes européennes. Le 29 avril 2006 on le retrouve à Paris, à l'Elysée-Montmartre. En octobre, le chanteur sort un nouvel album intitulé "Danger de mort". Fin décembre, le groupe Quartier Latin fête ses 20 ans d'existence en compagnie du "patron", à Kinshasa puis à Brazzaville.
*
Koffi Olomide joue la star. Il se prend au sérieux pour certains, mais pour d'autres, il incarne à n'en pas douter, le lover parfait. De là vient évidemment une indiscutable popularité auprès de la gente féminine qui constitue une grande partie de son public.

Fally Ipupa - 2 new clips - Attente et Associe


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Fally Ipupa - Mioleseke

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Fally Ipupa - Kidiamfuka

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Fally Ipupa - Droit Chemin

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Fally Ipupa - Liputa

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Ferre Gola - Sens Interdit


Congointer:C'est la voix la plus limpide de la RD Congo, Hervé Gola Bataringe alias Ferré chair de poule ne chante pas que pour crier comme font les autres mais pour toucher les coeurs. Avec son album ''Sens interdit'' , Ferré parle de la vie, de l'amour... Surtout il n'a pas commis l'erreur de Koffi ou Werrason en évitant des chansons ou des cris à sa gloire personnelle d'où l'échec des albums ''Témoignages'' ou ''Danger de mort''. ''Sens interdit'', un album comme il se fait rarement aujourd'hui, c à d un album avec des chansons à thème, le côté "acoustique" démontre le talent artistique de ''Kaiser sozer''.

Congointer:Adolphe Ebonja Elongo alias Tata Mobitch va lancer sur le marché l'album ''Sondage''. Bon auteur-compositeur,Papa one a abbattu un travail appréciable avec ses musiciens de Wenge Tonya Tonya.

Congointer:Le chanteur Aimélia alias Lias de Mingongo quitte l'orchestre Wenge maison mère suite au comportement rancunier de son leader Noel Ngiama Makanda alias Werrason. Il compte larguer sur le marché son 2ème album solo.L'échec de l'album ''Témoignage" est là pour rappeler Werrason doit travailler au lieu vilipender les autres artistes.

Congointer:La nouvelle star de la musique congolaise Ipupa Nsimba alias Fally DI Caprio s' est produit le samedi 4 novembre dans la salle Docks Eiffel à Paris plein à craquer. Le succès de Fally lors de la soirée n'est plus en mettre en doute, il a profité pour chanter ''Cadenas'' , une nouvelle chanson qui sera dans son prochain album.

L'or Mbongo


Congointer: La plus grande star de la musique chrétienne Mme L'OR MBONGO LEMBA vient de terminer son troisième album et le nom est bel et bien connu, c'est "YESU KAKA", son nouvel album contient 10 titres et la sortie probable est fixée pour fin novembre selon ses proches.À suivre

"Que demande le peuple"


Congointer: ''Que demande le peuple'' sera le titre du prochain du chanteur Félix Wazekwa. Il a decidé de laisser ses musiciens de placer chacun une chanson. mais le titre de l'album surprend, comme Boketshu Ier , Mokuwa Ya Bongo devient -il un musicien engagé? « Je suis Congolais, je ne peux pas ne pas m’intéresser à ce qui se passe dans mon pays, à ce qui se passe autour de moi », répond le leader de Cultur’A Pays Vie. À suivre

le chanteur de charme.....


Congointer: Le chanteur de charme Ipupa Nsimba alias Fally di Caprio s'est produit sur un même podium que son ancien patron Antoine Agbepa Mumba dit Koffi Olomide à l'occasion du mariage de Claudia Nguesso, une des filles du président congolais. LA chanson"Liputa'' fut un très grand succès de la soirée. Fally a vraiment le vent en poupe...

Congointer:L'album "Danger de mort " de l'orchestre Quartier Latin de l'artiste musicien Antoine Agbepa Mumba alias Koffi Olomide dont la sortie sur le marché du disque est annoncé pour le mois d'octobre, est composé de plusieurs titres signés par les musiciens du groupe dont "diviser par deux '' de Sheila Mputu et surtout ''Général-major'' de Montana Kamenga.À suivre...

Congointer:Palpitation Totale est le titre du prochain maxi-single de Didier kalonji Mukeba alias Bill Clinton nsengu ku dibende, le leader de la 5ème génération . Selon ses proches, la sortie de ce single est pour le mois d'Octobre.

Congointer:En voulant toujours tout avoir pour lui, il perd ses meilleurs chanteurs comme Hervé Gola Bataringe dit Férré et Faustin Ipupa Nsimba Ebamba alias Fally DI caprio, le "Decakoraman"Koffi Olomide ne peut s 'en prendre qu'à lui même. Tout le monde a remarqué samedi dernier lors de sa production à la fikin, l'orchestre Quartier Latin est en baisse. Pendant ce temps, Fally Ipupa a cartonné au parking du GHK en donnant un spectacle digne de son succès .La chanson 'Liputa'' fut très reclamée par le public venu très nombreux. Bravo l'artiste.
Werra Son Congointer: La star de la chanson congolaise Noel Ngiama Makanda alias Werrason a été soumis à Bruxelles à une interrogatoire par le groupe de pression ''Bana Congo'' pour son soutien au PPRD et du président sortant Kabila. Le roi de la forêt a du quitter précipitament la Belgique pour la France. Sa popularité est en chute auprès de la diaspora congolaise . Il s'est défendu en prétendant être le dernier parmis les musiciens à avoir récu une somme d'argent de la part du camp présidentiel. À suivre...
Congointer:Didier Kalonji Mukeba alias Bill Clinton le leader de la 5eme generation & son groupe « Les samouraïs du dernier Marquis » ont sorti single qui contiendra le spot publicitaire de la Bracongo avec son nouveau slogan « Matisa Pression ».C'est pour la troisième fois que cet animateur devenu président de son propre groupe va produire un spot pour la promotion de cette bière. La programmation a été déjà faite. Bill Clinton et les siens sont au studio juste pour procéder à l'enregistrement de ce single. C'est fort possible que ce single soit lancé sur le marché avant la fin du mois d'août.

Congointer:Le Karmapa : “La rumba avait été négligée par les jeunes,j’ai amené la révolution dans la musique congolaise. Grâce au succès de “Je m’appelle toi, love moi”, tous les orchestres des jeunes parlent de la rumba et s’intéressent à ce rythme”.
Congointer:Faustin Ipupa Nsimba dit Fally Di Caprio vient de passer une semaine sur le sol gabonnais pour la promo de son album "Droit chemin''. Arrivé le lundi 07.08 à Libreville attendu par la presse locale et quelques fans , après les interviews et une séance photo improvisée, Fally Ipupa a rejoint les studios de TV+ et Africa n''1.Cette tournée a été organisé par le King Frank Nguema.

Congointer: Noel Ngiama Makanda alias Werrason a compris que l'amour de son pays n'est pas négociable en déclinant finalement l'invitation du président Paul Kagamé du Rwanda d'aller dans une parodie de festival musical à Kigali, sous la pression d'une partie de ses propres fanatiques. Le roi de la forêt ne pouvait aller danser le''Kisanola'' devant un homme qui a massacré les congolais et tient en otage 85% de son peuple(Hutu).

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Didier Masela
Congointer: DIDIER MASELA alias ZABALA BAKULU FONDE DE MAS aurait regagné le groupe Wenge Maison Mère. Nous attendons la déclaration de Noel Ngiama dit le roi de la forêt dans les prochains jours.À suivre

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Werra Son
Congointer:En appellant à ses fanatiques à voter pour le président sortant Kabila ainsi que les candidats députés PPRD,la star de la chanson congolaise Noel Ngiama Makanda alias Werrason a du fuir au Congo-Brazza pour échapper à la colère des kinois avant de revenir à son domicile. Son lieu de répétition, le célèbre Zamba Playa a été pillé par les ''shégués'' profitant de la manifestation du Mlc à l'occasion du retour de Jean-Pierre Bemba à Kinshasa.

Biographie de Werra Son


Originaire de la RD Congo, "Werrason", né NGIAMA Makanda, a vu le jour à la fin des années soixante dans la Province de Bandundu. Il n’y a vécu que très peu, juste le temps d’apprendre à marcher. Puis, il s’installe avec son père à Kinshasa. Issu d’une famille modeste, WERRA SON est tout gosse lorsqu'il est atteint par le virus de la musique. A l'âge de 12 ans, il accompagne son frère aîné qui chantait à l'église Protestante de Bandalungwa (un arrondissement de la ville de Kinshasa). Peu de temps après, il intègre lui aussi la chorale. La folie de la jeunesse oblige, Werra Son fuit la chorale, pour le noble art (la boxe et le judo). Le destin étant plus fort que le désir, Werra Son retourne au chant, nous sommes en 1977. En 1981, il crée avec ses copains du quartier un groupe sans nom. Un orchestre «d’aventure». Au mois de juillet de la même année, le groupe d’aventure se transforme en un orchestre structuré : c’est le groupe WENGE MUSICA qui est né. Avec ce groupe WERRA SON produit successivement des chefs d’œuvre d’une valeur artistique indéniable comme «NIKI-D», «Le Monde est Méchant», «Djino», «Surprise Kapangala», «Kaskito», «Koko Madimba» et surtout, «Kala yi Boeing» avec le groupe "Wenge Musica" . Il est le principal artisan de sa consécration internationale. En 1997, Wenge Musica éclate en deux tendances, WERRA SON reste avec deux de ses anciens coéquipiers : MASELA et EBONJA. Très faible certes, vu la qualité et le nombre de musiciens qui sont partis vers l’autre aile. Néanmoins, On reconnaît le vrai héros au nombre d’obstacles franchi. Werrason va instantanément recruter de nouveaux musiciens et le train repart de plus belle. En 1998, Werrason restructure le groupe Wenge-Musique que les journalistes surnommeront «Maison mère». Car cette nouvelle formule du groupe aura comme objectif, la «conquête du continent africain…». Pour cela, Werrason et son groupe vont lancer sur le marché du disque un album test dont le titre est « Intervention Rapide ». « Chantal » l’extrait de cet opus cannibalise et obtient un succès immédiat et sans précédents. En 1999, il sort avec son groupe, l’album « SOLOLA BIEN ». Pari réussi, il se vend par milliers, d’où l’obtention du « Disque D’or » en France. Cette même année, il entame une tournée triomphale à Londres, Canada, Paris et Bruxelles. En septembre 2000, il est le 2ème Artiste Africain à se produire et remplir le Palais Omnisports de Paris Bercy. «KIBUISA MPIMPA» ATTITUDEJuin 2001, il réalise «KIBUISA MPIMPA», l’album de ses rêves ; œuvre magistrale de 17 titres. Cet album est le résultat de 5 années de préparation, et quatre mois de studio sans oublier les 2000 heures de réflexion en ce qui concerne son approche philosophique. Kibuisa Mpimpa est une nouvelle approche de la musique Bantou. C’est d’ailleurs grâce à cette approche philosophique de la musique que, des artistes comme Manu DIBANGO, MAKOMA et le rappeur Pitt BACCARDI acceptent de participer à l’élaboration de ce disque. A sa sortie, le disque «KIBUISA MPIMPA» est qualifié de « culturellement révolutionnaire» par des observateurs éclairés de la vie culturelle africaine. En effet, Werra a adopté une approche authentique de la Musique. «La musique est pour lui, un objet de partage». En choisissant «Kibuisa Mpimpa» comme titre de son 1er Album solo, une appellation typiquement Bantou, Werrason veut à travers son travail, partager la culture de ces ancêtres avec le reste du monde. Car pour lui, «la culture est la seule chose réellement authentique qu’un peuple dispose et qu’il doit la partager avec d’autres peuples». Cette philosophie avait été aussi adoptée par ses confrères Africains dont exemple le groupe MAGIC System à travers leur tube «GAHOU». WERRA SON LE SHOWMAN En 2001, il remporte deux KORAS au festival international de la musique Noire en Afrique du Sud. Ce qui va lui permettre d’inaugurer un nouvel ère : le «2-BABORS». Un exploi qu'il va réitérer en deux ans après. Le «2Babors» va définir le principe de la tournée «Kibuisa Mpimpa» à travers l’Europe. Il s’agira ici de se produire sur une grande scène, deux jours successifs et cela dans chaque grande salle des métropoles Européenne. Pari risqué, mais gagné car Werra a rempli «Le Zénith de Paris», une des plus grandes salles de spectacle de France. Exploit réitéré successivement, à Londres, Bruxelles, Amsterdam et autres grandes capitales Européennes. WERRA SON a à travers cette innovation, attiré vers lui et sa musique, un nouveau public : La diaspora noire éclairées a en fin trouvé à la personne de Werrason, un artiste, un modèle qui assume et affirme clairement sa négritude sans pour autant y être un militant de la cause noire. Ainsi, en 2005, lors de sa tournée europénne annuelle, les artistes tels que PASSI, Doc GENYCO, BEnJI pour la France, et la star du monde arabe, l'Algérien AKIL lui ont démandé de collaborer à leurs projets encours. Ces différentes collaborations lui a permi d'intégrer par la grande porte, le monde merveilleux de la World Music. WERRA SON ET L'ACTION HUMANITAIRELe Congo son Pays natal est en guerre depuis une dizaine d’années. Parmi les belligérants, on peux aisément cité les armées régulières (Rwanda, Ouganda, Burundi d’un côté, puis l’armée congolaise de l’autre) et les groupes armées soutenus éssentiellement par le gouvernement du Rwanda. Comme il est de coutume en Afrique, chaque groupe armé procède au recrutement de ses soldats en allant «kidnapper» les enfants dans les rues des grandes villes ou dans des villages. Au cours d’une tournée à l’intérieur de son pays, Werrason s’est aperçu que les jeunes garçons orphelins ou issus des familles modestes étaient mobilisables par des groupes armés à partir de 10 ans d’âge. C’est fut un choc pour lui et en grand frère responsable, il décida de mettre en place une structure destinée à recueillir ses enfants avant que les groupes armés les enrôlent. Werra Son considère en effet qu’aider les enfants démunis est un devoir ; car, ceci permet à ces derniers de s’affranchir de la tutelle des organisations douteuses. L’action humaintaire de Werrason a pour but essentiel, contribuer au développement de son pays. Car la «Fondation Werrason» a trois objectifs principaux : - Dans un premier temps, accueillir au sein de l’organisation les enfants de la rue, communément appelés SHEGE ; - En suite, leurs apprendre un métier (la maçonnerie, la menuiserie, la mécanique ou encore l’agriculture et l’élevage) ; - En fin, aider aux plus entreprenants de mettre en place, une activité économique en leur propre nom. Nonobstant les moyens modestes dont il dispose, werra essaie chaque année de venir en aide aux enfants, écoliers, prisonniers ou encore aux hôpitaux en leur offrant diverses donations. Pour exercer ses activités humanitaires dans des meilleurs conditions, Werra Son a mis à la disposition de sa fondation une ferme de plus de 11000 hectares. Désormais, c’est à l’enceinte de cette ferme que les jeunes gens désoeuvrés vont pouvoir apprendre non seulement un métier, mais aussi à devenir des citoyens responsable. Il est à noter qu’à ces jours, plus de 400 jeunes gens de 10 à 14 ans sont actuellement pris en charge par la fondation Werrason à travers la RD Congo. UnUNE ACTION HUMANITAIRE RECONNUE PAR L'ONULes Nations Unies ne pouvant resté insensible aux différentes actions humanitaires entreprises par Werrason à travers sa fondation, l’ONU lui a décerné le titre d’Ambassadeur Universel de la Paix. Après cette reconnaissance des Nations Unies, Werra Son compte donner une dimension supérieure à sa fondation. C’est pourquoi, il envisage ouvrir dans un premier temps, trois représentations en Asie, en Europe et aux USA. Depuis l’année 2004, Werrason a participe à plusieurs campagnes de sensibilisations initiées par l’UNESCO. C’est dans le cadre d’une de ses campagnes, que Werrason avait écrit une chanson pour inciter les parents de cesser la discrimination envers leurs jeunes filles au profit des garçons. Cette discrimination se manifeste sur le fait que plusieurs parents en Afrique, préfèrent investir dans l’éducation scolaire de leurs garçons au détriment des filles. C’est pourquoi il est fréquent de trouver dans ses sociétés, des filles ou des femmes sans instruction.

C’est peu avant le départ de certains hommes forts de l’orchestre Quartier latin international de Koffi Olomidé que Fally Ipupa est recruté par ce dernier.Mais à l’époque, la ligne de chant du groupe, qui se composait des chanteurs comme Modogo, Sam Tshintu, Eric Tutsi…ne permettait pas à Fally de s’afficher en titulaire. Il faisait quelque peu banquette comme on pourrait le dire en foot.En 1999, Koffi Olomidé rompt avec certains de ses hommes à la suite d’un différend lié à la gestion et la rémunération. Ceux-ci vont créer le Quartier latin academia. Cette vague de départ permettra à Fally de prendre une place de titulaire au sein du Quartier latin international du grand Mopao. Il va voir ainsi son étoile poindre. Il sera même le chef d’orchestre. Il chante successivement sur les albums Droit de veto, Force de frappe, Affaire d’Etat, Effrakata, et Monde arabe.C’est à travers l’album Force de frappe qu’il va placer sa première véritable chanson ayant pour titre Eternellement. Une rumba évoquant une déception d’amour.Du haut son mètre 82, charmeur et beau chanteur, Il s’attire ainsi la sympathie des mélomanes. Surtout de la gent féminine. Il est surnommé Di caprio au sein du groupe, en référence au séducteur acteur américain d’origine italienne, Leonardo Di Caprio très en vue dans le film Titanic.Mais la surprise au sein du groupe est apparue quand, l’année dernière, Fally annonce la préparation de son album personnel Droit chemin. A-t-il eu l’aval de Koffi ? Surtout que dans le Quartier latin international, une discipline de groupe veut que les musiciens ne sont pas autorisés à sortir des albums en dehors de l’orchestre.Fally ne redouterait-il pas la réaction de son boss, Olomidé ? Sa réponse est sèche et empreinte de beaucoup d’engagement. «Non ! S’il ne nous est pas permis de sortir des œuvres en dehors de notre orchestre, eh bien ! moi, je viens de prendre l’initiative…Mon patron est un homme, il comprendra. J’en parlerai avec lui. Nous finirons par nous entendre. » A-t-il expliqué dans une interview. Finalement, un accord semble être trouvé.Fally n’a pas quitté Koffi Olomidé. Et pour lever toute équivoque, il participe même aux travaux d’enregistrement du prochain album, Danger de mort, du “quadra-koraman.” Aguerri à côté de cette icône de la musique congolaise, et avec sa bénédiction, il enregistre son premier album solo. Droit chemin est une œuvre de treize titres qui est sortie en cd à Paris, le 10 juin. Les cassettes et les clips seront présents sur le marché congolais à partir de la semaine prochaine. Produite par l’ivoirien David Monsoh, Droit chemin est distribuée en RDC par la structure Vision music et au Congo Brazza par Globe music. La sortie de cette œuvre dont la presse congolaise ne tarit pas d’éloges sera effective bientôt en Côte d’Ivoire. Déjà, certaines radios abidjanaises diffusent quelques airs de la galette chère à Fally.

Bonjour a tous!!

Bonjour a tous!! Je me présente Mbo Bokango je suis le créateur de ce site. Je les créer pour vous qui sont tout comme moi fan de la Muzik Z!! Je vous informerais de toute les nouveautés de nos plus grand artiste: Werra son, Koffi Olomidé, Jb Mpiana, King Kester, Fally Ipupa, Ferre et j'en passe... Enfin j'espère que sa va vous combler. Merci!!!